Réaction verte et écofascisme

Alors que l’écologisme et l’environnementalisme deviennent des revendications légitimes même au sein du pouvoir, le discours critique au sein de ces mouvements est presque totalement absent, sauver la planète serait le mot d’ordre principal, la méthode pour y arriver, et donc les conséquences, ne semble guère intéresser.

Entre culpabilisation et alliance, les mouvements et associations vertes ne semblent pas toujours conscients des conséquences politiques de leurs actions. Persuader que les réflexions sur la nature sont récentes, que tout est à expérimenter et en surfant sur la mode du ni de gauche ni de droite, ces mouvements sont en permanence perdu dans leurs propres jeux politiques. D’EELV mettant en place des politiques sécuritaires, aux décroissants culpabilisant les mauvais consommateurs, ces groupes, en faisant le choix du réformisme, refuse de voire le monde vers lequel ils nous emmènent. Persuader du bien fondé moral de leur quête, ils passent trop peu de temps à projeter leurs actions dans le future, dénoncer leurs faux amis et à réfléchir au racine du problème environnementale qui, vu ce qu’ils défendent, nous mènera à l’exclusion d’une grande partie de la population aux ressources nécessaire à la vie, pour permettre la survie d’une minorité privilégiée.

 

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